Notre positionnement en conseil en trésorerie
En termes de missions de trésorerie, nos interlocuteurs ne sont paradoxalement pas systématiquement les trésoriers mais tout autant les directions financières. Nos clients sont des grands corporates, des ETI et des PME.
L’approche et le contenu
La practice « conseil en trésorerie d’entreprise » d’Akeance Consulting adresse des problématiques de différentes natures d’accompagnement.
Certaines missions visent directement à optimiser la trésorerie : la création de cash pool, de netting en sont des exemples significatifs. La mise en place de prévisions de trésorerie et de cash flows, qui passe nécessairement par l’optimisation des process depuis les achats jusqu’aux encaissements, en est une autre illustration.
De manière similaire, certaines missions visent à l’optimisation de la chaîne de paiement par la création d’un « payment factory » ou la mise en place d’un « reverse factoring » ou encore la réorganisation d’un service de recouvrement.
L’optimisation du BFR, une offre d’Akeance Consulting, s’inscrit dans cette démarche d’optimisation de la gestion de trésorerie.
Évidemment, les outils associés font l’objet de missions chez Akeance Consulting aussi bien pour la phase de choix que le pilotage de la mise en œuvre de l’outil, qu’il s’agisse de TMS – Treasury Management System – ou d’outil de prévisions de trésorerie.
Quelques convictions
Le peu d’importance accordé aux prévisions de trésorerie
Les expériences d’Akeance Consulting conduisent à constater soit le manque de prévisions de trésorerie au sein de PME mais aussi d’ETI relativement significatives, où il semble que la trésorerie soit plus « subie » que « maîtrisée ». L’exploitation courante et les échéances de la dette génèrent des impasses dont il faudra bien se sortir… Sur la base de ce constat, nous accentuons notre développement sur ce type d’offre.
Au sein des grands corporates (et aussi de certaines ETI, bien entendu), les prévisions de trésorerie existent.
En revanche, il s’agit souvent d’un suivi « récapitulatif » en quelque sorte des flux initiés dans les différentes fonctions de l’entreprise. La difficulté tient plus dans la remise à plat et la révision des processus de bout en bout des services qui engagent des flux de trésorerie. Pour illustration, la prise en compte des RFA ou toute remise sur quantité est rarement opérante dans les tableaux de prévisions de trésorerie.
La trésorerie d’entreprise : un État dans l’État ?
« Profit is an opinion. Cash is a reality ! » Cet adage rend-il un service trésorerie plus autonome, plus noble que d’autres ? Peu importe et surtout ne portons pas de jugement. Mais il est vrai, d’expérience, que l’animation de missions transverses entre différents services de l’entreprise concernant la fonction trésorerie nous paraît plus sensible que dans d’autres domaines. Pourtant, l’optimisation de la trésorerie passe très souvent par une optimisation en amont et en aval de la fonction trésorerie proprement dite…
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