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Les forces d'Akeance Consulting

Michel Mondet vous présente les forces d'Akeance Consulting :

"Il faudrait peut-être que je vous dise quand-même ce qu'on fait chez Akeance, quel type de conseil ou de consulting on exerce auprès de nos clients.

Alors, c'est assez facile en générique.

On va dire, qu'on accompagne nos clients pour l'amélioration de la gestion de la performance de l'entreprise.

Ça c'est assez simple. Ça se décline en 2 choses :

  • en des études d'une part
  • et des conduites de projets d'autre part.

La force d’Akeance c'est que pour mener des études, on va revenir dessus, diverses et variées, il faut bien connaître le secteur économique de son client.

On ne fait pas une étude de prospective un business plan, selon tel ou tel secteur de la même manière évidemment.

Sur la direction de projet, c'est un peu la même chose.

Il faut connaître son client mais surtout il faut avoir de la méthode.

Je sais qu'en ce moment, on croise beaucoup de prospects et de clients qui nous imposent leur manière de voir leur direction de projet.

Très souvent, c'est pas du tout ça que nous avons en tête.

Donc, la direction de projet c'est une expérience, c'est un métier.

On ne peut pas le négliger et faire en sorte qu’on fasse uniquement une PMO simple et que finalement les différents utilisateurs, les différents participants à un projet fassent un peu comme ils veulent.

 Non, un projet ça se dirige, dans tous les sens du terme.

Alors, pour revenir sur les spécificités d’Akeance sur les études et sur effectivement la connaissance de ces secteurs économiques et de ces clients, nous sommes assez focussés sur les mondes de services et de services industriels, que sont : le monde de l'immobilier qui est un monde qu’historiquement nous connaissons bien.

Que ce soit les acteurs des services immobiliers, que ce soit les foncières elles-mêmes, ou que ce soit les directions immobilières de grand corporate bien sûr.

Il y a le transport, transport et logistique que nous connaissons là également particulièrement bien.

Un secteur bien identifié.

Le manufacturing qui est tout à fait spécifique comme j'ai eu l'occasion de le dire déjà plusieurs fois.

Le manufacturing c'est quand-même compliqué.

C’est un secteur que nous maîtrisons bien et évidemment d'autres services que sont par exemple la grande distribution pour laquelle nous avons beaucoup travaillé sur des sujets de gestion et d'organisation.

Voilà, alors les études c'est quoi ?

Les études ça peut être des études d'organisation et dedans on va y trouver la gouvernance.

Est-ce que qu'une holding doit être animatrice pas animatrice

Est-ce qu’on crée un “CSP” ou pas pour différentes entités d'un groupe ?

Ça peut être évidemment l'organisation au sens du process.

Comment est-ce qu'on réorganise un process de réédition de charges dans l'immobilier pour reprendre l'exemple, comment on vérifie la taille des lots dans un processus de manufacturing.

Tout ça relève du process.

Le 3e exemple d'étude qu'on peut avoir en matière d'organisation c'est évidemment au titre de sécuriser, vérifier, éviter les erreurs. En gros améliorer la qualité de service pour les clients de notre propre client.

Ce sont des mondes d'organisation qui sont de différents ordres.

On peut avoir des sujets qui relèvent des due diligence pour les fonds d’investissement ; des due diligence fonction ou des due diligence d'organisation et porter un avis évidemment sur telle ou telle entreprise en cours de rachat ou en cours d'investissement de la part d'un fonds.

Il y a tout un monde du chiffre, là encore le chiffre c'est à la fois les reporting et le pilotage au sens général.

Donc, il y a la fois l'étude et le projet.

L’étude c'est critiquer, challenger un système de reporting.

C’est éventuellement le créer from scratch, de toutes pièces qu'on a fait parfois pour le groupe de certains contrôles de gestion.

Le chiffre ce sont aussi des sujets compliqués comme le prix de revient.

J’ai eu l'occasion de faire quelques vidéos là-dessus mais le prix de revient industriel dans le manufacturing c'est compliqué. Et vous avez d'autres sujets qui sont à la fois à cheval sur le chiffre et à cheval sur l'organisation : c'est le budget.

Par exemple en entreprise on court toujours après le budget dans les deux sens du terme.

À la fois pour faire son budget bien sûr mais un sujet plus compliqué c'est à la fois pour savoir quel est le bon budget.

Au fond on a rarement un budget master avec lequel on bridge pour avoir les budgets aux actionnaires, les budgets aux salariés, les budgets à tel et tel.

On a souvent plusieurs budgets et on a du mal à les réconcilier.

Donc ça relève autant de la constitution d'un budget, qui relève un peu du chiffre, que de l'organisation et du process.

Voilà, on a d'autres missions qui traitent du chiffre : c'est évidemment la construction de business plan, c'est évidemment le challenge et l'amélioration d’un besoin en fonds de roulement.

Comment réduire ses stocks ?

Comment réduire son compte client ?

Ça relève du chiffre, ça relève aussi du process évidemment, comment on procède pour améliorer la réduction d'un compte client : c’est une mission qui est à cheval sur chiffre et organisation.

Et puis vous avez un troisième grand paquet : c'est évidemment le monde des outils.

C'est-à-dire des solutions informatiques, des progiciels, de tout ce que vous voulez, où on à la fois l’étude ; c’est-à-dire le choix de l'outil et là encore il faut connaître un peu le secteur industriel pour savoir chez Akeance on maintient en permanence des mises à jour trimestrielles sur la situation des différents ERP, sur l'émergence des évolutions, des fonctionnalités etc., pour faire en sorte qu'on soit plus à même de répondre à nos clients sur quel est l'état de l'arc et l'état du marché face aux besoins d'une solution nouvelle qu'elle soit au titre d'un ERP, qu'elle soit au titre d'une gestion de trésorerie pour en faire des prévisions, que ce soit au titre d'un SIRH parce qu'il y a une refonte dans tel ou tel corporate de la fonction RH.

Ce maintien à des compétences en interne est extrêmement important pour faire ces études sur les implantations d'outils.

Évidemment en aval, il y a le pilotage et la mise en œuvre de ces solutions qui relèvent toutes d'une méthode qui doit être rigoureuse, évidemment précise.

Ça ne veut pas dire forcément lourde, ça ne veut pas dire forcément à l'ancienne, ça veut dire avoir de l'exigence dans la direction de projet.

Ce qui se perd beaucoup par exemple il est aisé de dire "il faut éviter les réunions".

Non, je pense qu'il ne faut pas éviter les réunions.

Il faut créer des comités les plus larges possible mais les plus fréquents possible et les plus brefs possible.

C'est quelque chose qui est majeur dans la direction de projet.

Voilà, alors s'il faut résumer la force d’Akeance, c'est assez simple, c'est :

1/ notre force de connaissance, notre puissance de connaissance que nous avons des secteurs de nos clients.

Et 2/ la force que nous avons, assise sur l'expérience de la direction de projet, la rigueur et la méthode.

Des choses extrêmement importantes.

Donc, si je résume : la force d'un client c'est une glace à 2 boules. La connaissance sectorielle et la méthode.

À bientôt."

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