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Le métier de banque d'affaires n’est-il pas en train d’évoluer ? Chez Akeance, nous constatons une évolution sensible depuis plusieurs années pour ce qu’on appelle les « mid-cap » ou les petites entreprises. Les fameux success fees sont de plus en plus remis en question, considérés comme trop élevés, notamment pour cette taille d’entreprises. L’approche elle-même fait débat : un cédant cherche-t-il vraiment à maximiser la valeur de son entreprise ? A titre d’illustration, émergent ici et là, en France comme en Suisse, des fonds de private equity dont la vocation est plus de prolonger l’entreprise au-delà du dirigeant-propriétaire sans pour autant maximiser la valeur de l’entreprise. Enfin, les conditions opérationnelles d’intégration ou de spin off sont prises en compte beaucoup plus en amont.
La question de l’acquisition de parts de marché n’est pas souvent pertinente pour les entreprises de petite et moyenne tailles. Donc, les études de marché, les positionnements stratégiques et autres « potentiels de valeur » sont moins prioritaires. Ce qui va être majeur réside dans les apports respectifs de chaque partie à l’autre partie ; c’est plus fort encore que ce qu’il est convenu d’appeler les synergies. Cette préoccupation implique un travail amont très approfondi sur le métier, son exercice et ses spécificités. L’info-mémo devient donc moins financier et plus opérationnel. La part concernant le devenir des équipes devient de plus en plus prépondérant. En aval, les négociations avant signature des SPA se déportent beaucoup sur la traduction concrète des apports opérationnels, commerciaux et humains. Les négociations sur la valorisation et les modalités associées ne s’entament alors qu’en fin de parcours.
Dans ce contexte, Akeance Consulting, dont la fierté est de bien connaître le métier de ses clients, se positionne sur le marché des banques d'affaires où l’approche opérationnelle complète l’approche financière et où le modèle habituel de facturation se rapproche plus de celui du consulting.